by Sam Kent
This article was shortlisted for the Ithaka Prize.
Aujourd’hui
l’Union est morte. Ou peut-être avant le référendum, je ne sais pas. De toutes
façons, l’utopie Européenne de l’après guerre n’existe plus. Des gendarmes
recouvrent les frontières de l’Europe et une nouvelle époque de nationalisme,
d’idéalisme naïf, et une Europe qui est un classement plutôt qu’une grande
équipe. Bien sûr, à l’heure de mettre sous presse, cet avenir n’est qu’une
pensée, mais une pensée qui peut se transformer en réalité. Mais premièrement,
voici une histoire à propos de comment cette pensée a vu le jour.
Marine Le Pen and Geert Wilders |
Jeudi 23 juin. La Grande Bretagne retende son souffle. L’Europe retende son
souffle. Les Britanniques se précipitent aux bureaux de vote pour décider
l’avenir de leur pays. Quelques se dirigent rempli de la fierté nationale,
fervent de récupérer leur pays, autres avaient hâte de faire une décision
politique raisonnable pendant une année dans laquelle le nationalisme de
l’extrême droite irrationnel a été donné un nouvel élan face au terrorisme et
les niveaux de l’immigration sans précédent au plan international. Pour ce
dernier, c’était couru d’avance : les Britanniques ne feraient pas
confiance en les mots des gens comme Boris Johnson et Nigel Farage, les
électeurs modérés se dégonfleraient dans l’isoloir – et, après tout, les
Britanniques n’aiment pas le changement. Certainement, ceux-ci étaient mes réflexions
quand en endormant ce nuit, mais après être me lever le matin suivant, je me
suis retrouvé jeté à un avenir différent. Nous avons voté de sortir de l’Union
Européenne. Il n’y avait que 3,8% des votes qui l’a décidé, mais ça c’est la
nature d’un référendum. J’étais témoin de l’histoire, mais cette partie de
l’histoire était construit avec des matières que nous allions utiliser pour
construire notre futur prévu, alors notre nouveau futur existe encore, mais ne
personne sais plus ce qu’il ressemblera. Ce qui était ironique, c’était que à
l’origine, le référendum ne faisait que l’affaire de dissiper la menace de
l’extrême droite en Grande Bretagne – David Cameron, qui était alors le Prime
Ministre de Grande Bretagne, a promis le référendum de ce sujet en 2015 pendant
sa campagne électorale pour les élections législatives en mai. Il l’a promis
pour essayer de attirer des électeurs du parti de droite eurosceptique, The
United Kingdom Independence Party (UKIP), qui offraient le même référendum.
Cette tactique a marché, selon la plupart des commentateurs politiques, et le
parti centre-droit de Cameron, The Conservative Party a gagné l’élection. Après
avoir gardé sa position de Prime Ministre, il a prévu le référendum pour juin
2016. Alors, on peut dire que le référendum n’était jamais censé d’être plus
que insignifiant, une promesse tenue, mais le parti qui était sans importance,
et poussé sur le côté, UKIP, qui a commencé tout, a fini avec leurs objectifs
terminés, et le parti dominant et en fait titulaire, The Conservatives, sans un
leader.
Ce qui a ajouté à la victoire
historique, c’était que le Grande Bretagne est maintenant le premier pays de
partir de l’Union Européenne. Puisqu’il n’y avait aucun pays qui a quitté
l’Union, la plupart disait que c’était impossible en ce sens, si rien d’autre.
Mais maintenant que les citoyens de l’Europe rendent-ils compte que l’adhésion
à l’Union n’est pas un contrat éternellement obligatoire, les échos pour un
référendum dans leurs pays augment plus fort. Ceci est sans aucun doute se
résume à la montée de la politique de l’extrême droite en Europe; en effet, une
renaissance de ces politiques traditionnels en Grande Bretagne est ce qui est
commencé le processus du « Brexit ». Le point qui va inquiéter
l’élite de l’Union Européenne est que ce qui s’est passé en Grande Bretagne se
passe en ce moment autour du continent – peut-être à l’échelle plus grande. Les
facteurs définissants qui a catalysé le « Brexit » étaient
l’immigration, et la bureaucratie anonyme qui ont tiré les ficelles à Bruxelles
(bien qu’il n’y ait pas encore des statistiques officielles pour déterminer les
raisons pourquoi ceux qui a voté pour partir l’ont fait). Ces bureaucrates sans
visages sont un centre d’attention pour des figures politiques majeurs de
l’extrême droite comme Marine Le Pen en France : « L'UE est
profondément nuisible, il est un monstre anti-démocratique » (interview
avec le journal Allemand, Spiegel), et Viktor Orbán en Hongrie :
« nos chefs en Bruxelles s’asseyent dans un tour ivoire, ils ont séparé
de, et n’ont pas une connexion avec, la réalité ». De plus, il était
remarqué par journaliste français Thomas Guénolé dans un article pour le
journal « Le Figaro » que le mode de vote en Grande Bretagne
concernant le référendum a suivi le chemin de la mondialisation dans le
pays : c’est à dire que les régions qui étaient laissé pour compte par ce
processus qui était catalysé par la croissance de l’Union Européenne ont voté
« Leave » ; les bénéficiaires de la mondialisation, comme
Londres et l’Irlande du Nord par exemple, ont voté « Remain ». Ce qui
va inquiéter les pro-européens dans les pays de Le Pen et Orbán, c’est que les
régions comme le nord-est en Angleterre, qui sont devenus plus hostiles à
l’Union alors que l’entreprise et l’industrie les sont parties pour les pays
moins chers, sont plus grandes et plus nombreuses en France et Hongrie. Par
conséquent, les référendums sur la sortie de l’Union en ces pays susdits
seraient certainement encore plus en faveur d’un « Frexit » ou un
« Hongrexit » (le mot-valise n’est pas important en ce moment).
Aussi, l’immigration est un objet de litige très
bien connu autour de l’Europe, avec la crise (la crise des migrants ou la crise
des réfugiés, en fonction de ses points de vue politiques) intensifiant tout le
temps avec les conflits en le Moyen-Orient. Dans les pays susdits, les
pourcentages des immigrés dans la population sont 11,9% et 4,8% respectivement
(source Eurostat) ; l’émigration nette en France en 2012 était 332.000,
Hongrie 30.000 (source Worldbank). Malgré ce chiffre relativement bas, le
gouvernement Hongrois a organisé un référendum pour octobre 2016 au sujet du
quota d’immigration de l’Union Européenne, et si le pays va l’accepter ou pas.
Prime Ministre Orbán a dit que ce « n’est pas un secret que le Hongrie
refuse les quotas d’immigration ». Alors, l’opinion du gouvernement est claire.
De plus, ce n’est pas un secret que Bruxelles a lancé les règles aux pays de
l’Union récemment, avec ses myriades de régulations apparemment superficielles
– celui-ci est un exemple des règles être lancer en arrière. Et si le résultat
du référendum sera au profit du gouvernement Hongrois, il aura un mandat
démocratique pour désobéir les règles de l’Union Européenne – et ceux dans leur
« tour ivoire », pourraient-ils le disputer ? Une réfutation des
ordres Bruxellois de telle signifiance aurait l’air impossible
normalement ; après tout de l’Europe se sont secoués quand le Grande
Bretagne est allé un peu plus loin, de tel action se semble maintenant simple,
ou peut-être au nationaliste, essentiel. Et le nationalisme n’est pas difficile
à trouver en Europe en ce moment.
Alors,
tout de cela veut dire que le Grande Bretagne, et les 17,4 millions de croix
qui ont été écrites pour traîner le pays hors de l’Union, pourrait agir comme
un catalyseur pour la dissolution de l’Union Européenne dans l’ensemble. Si
celui-ci était le cas, qui serait le prochain pays de partir ? A l’heure de mettre sous presse, Les Pays-Bas
et la France sont deux des quatre prochains pays d’avoir une élection, et tous
les deux ont des candidats eurosceptiques sérieux en concurrence. Ce mars
pourrait voir leader du « Parti pour la Liberté » (PVV), Geert
Wilders, gagne l’élection pour la première fois (selon les sondages les plus
récents il est le préféré pour le faire). Le mois suivant, Marine Le Pen du
Front National (FN) pourrait le joindre aux commandes d’un mouvement européenne
de l’extrême droite qui est à croissance rapide. Il vaut mentionner que le
département de Moselle, dans lequel Forbach, la ville qui était témoigne de la
naissance de la Communauté Européenne de l'Acier et du Charbon par Robert
Schuman, se trouve, a voté pour le Front National dans les élections
européennes de 2014. La situation est la même pour le département du Bas-Rhin,
le capitale duquel est Strasbourg. Si ça n’est pas un symbole pour la baisse de
l’Union depuis sa naissance.
Toutefois, une victoire de Le Pen est moins
probable qu’un de Wilders : selon les sondages d’opinion, elle a des
raisonnables chances d’atteindre au deuxième tour, mais elle ne gagnerait que
contre François Hollande. Tous les deux de ces candidats eurosceptiques
promettent d’offrir un référendum sur l’adhésion de leurs pays respectifs de
l’Union Européenne. Et s’ils réussissent en gagner leurs élections, il n’est
pas difficile de voir qu’il y aurait assez de support d’obtenir leurs propres
départs de l’Union après le Grande Bretagne. Comme la France est un membre
fondateur de l’Union Européenne, son départ ne causerait aucun doute des
craquements dans les fondations et des lézardes dans les murs à Bruxelles. Ainsi,
ce que l’on pourrait voir à l’avenir proche est les fentes que le Grande
Bretagne et le « Brexit » ont crée se répandant tout autour de
l’Europe, et comme un monument historique, vieux et délabré, l’Union tombe en
ruines.
Cependant, existe-il quelque chose, ou quelqu'un,
qui peut sauver l’Union ? La tendance des grands médias d’être pessimiste
en parlant de l’état politique de l’Union Européenne pourrait on donner
l’impression que la réponse est non. Mais ça dépend de ce que l’on pense est
mauvais avec l’Union. Pour lui qui est concerné avec l’émigration de la
puissance économique vers l’Est, aux pays comme la Chine et l’Inde,
l’intégration plus profonde dans l’Union pourrait être la réponse appropriée. Député
européen Belge, Guy Verhofstadt est un membre fondateur du « Spinelli
Group », une initiative des politiciens à l’intérieur du Parlement européen,
dont l’objectif est le retour de « l’esprit Européen ». Il a dit que
l’avenir d’Europe se trouve dans « plus de l’intégration comme le moteur
de la croissance », et le compromis de la monnaie unique européenne avec
des marchés nationaux est inutile et il déboucherait au « déclin de
l’Europe ». Il a cité des marchés financiers coordonnés, un système de la
banque coordonné, et de la dette commun dans l’Union comme des nécessités pour
l’Europe pour se battre sur l’esquicher mondial dans le futur.
Pour ceux
qui regrettent le manque de démocratie dans les filiales exécutifs du Parlement
européen, des élections, soient-ils basés sur des partis ou avec des candidats
individuels, pourraient être la solution. Ses mises en œuvres seraient longues
et difficiles, mais sûrement motivés par la menace de l’alternative, à savoir,
la dissolution de l’Union. Le résultat dernier pourrait être la seule solution
pour quelques ; en particulier ceux dont l’intérêt principale est la
souveraineté de leur pays respectifs. Une Europe plus intégrée, en fait
« Les États Unis de l’Europe » serait un cauchemar éveillé pour ces
gens, et la possibilité de voter pour leur leader de la Commission Européenne
ne serait aucune consolation, à moins qu’il apparaisse un candidat
eurosceptique qui voudrait détruire sa position de l’intérieur. Pour ce groupe
de gens, qui est très réel et existe-t-il dans chaque pays de l’Union, quelques
comme une minorité, quelques comme une majorité, le seul futur viable et
approprié est pour chacun de se replier derrière ses frontières respectives et
de vivre comme des nations indépendantes, mais en paix. Les opinions sur les complications
de cet avenir projeté, comme le futur de la devise de l’Euro et la libre
circulation de travailleurs (tous les deux ont la popularité avec ceux pour et
contre l’Union) diffèrent entre tout le monde.
Pour conclure, il existe de nombreuses menaces au
futur de l’Union Européenne, la plupart desquelles sont nées du
« Brexit », et à en juger les raisons pourquoi 17 millions de gens
ont voté « Leave », l’Union Européenne comme nous la savons est en
grand danger. Cependant, l’Union Européenne comme nous la savons, ou pas d’une
Union du tout, ne sont pas les seules options. Une Union plus intégrée pourrait
mettre le continent au cœur de la croissance économique mondial ; une
réforme sur les élections pour la Commission Européenne, dans laquelle le
président est élu démocratiquement pourrait calmer les hostilités dans quelques
quartiers eurosceptiques ; mais pour quelques gens, la dissolution
complète de l’Union Européenne est quand-même la seule solution qui peut
réparer une Europe cassé et non fonctionnelle. Comme nous avons vu en Grande
Bretagne, le pur nombre de ces gens et leur volonté d’obtenir ce qu’ils veulent
est peut-être plus grand que l’on s’en doute.
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